Saleté de scène à la noix

20h52 – 105672 signes

(écoute Your Song (instrumental), B.O de Moulin Rouge)
Je ne suis vraiment pas douée pour les scènes « de société ». En écriture, je parle, hein, pas dans la vie ! Quoique, ça reflète peut-être mon caractère dans la vie réelle… J’explique : autant je n’ai aucun problème pour écrire des scènes d’actions, d’introspection, de réflexions dans lesquelles mon héroïne est seule ou n’interagit qu’avec peu de personnes, autant dès qu’il s’agit d’écrire une scène de groupe, avec discussions, actions, etc., je bloque complétement et j’avance à la vitesse d’un escargot.

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Un presque début de plan !

Bah oui, ça fait deux jours que je travaille d’arrache-pied sur mon roman (grâce à isy qui me surveille avec vigilance), et ça se décante vraiment bien en ce moment. J’ai mon histoire en tête jusqu’au chapitre 5 (mais des longs chapitres, hein!). J’ai encore quelques problèmes mais j’ai trouvé précisemment lesquels, ce qui est plus facile pour trouver des solutions.

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Seule

23h12 – 102660 signes

(écoute l’ordinateur d’isy qui tourne en fond)
Ce soir, je suis seule. Isy est parti ce matin à 10h et ne rentre que d’ici une heure ou deux. Encore heureux qu’il ne travaille qu’un jour sur deux. Alors, je regarde Big Fish, seule dans le salon, le portable sur les genoux, et je m’évade durant quelques temps. Puis je retourne dans la chambre et installée sur le lit je vagabonde sur le net. Je vais lire quelques pages de l’Ange, allez savoir pourquoi.

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Hey!

Sur fond d’Eivor Palsdottir (c’est tellement beau que j’en ai les larmes aux yeux), je recommence pour la énième fois le début de mon roman. Ce qui fait qu’après pas mal de séances d’écriture et d’arrachages de cheveux, j’en suis toujours à la page… une. Je ne peux pas jurer que cette fois-ci sera la bonne, mais on essaie d’avancer quand même. Je crois que je tiens un bon bout. J’y vais à l’instinct… on verra bien!

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Youhou !

20h04 – 100075 signes

(écoute le Caméléon sur W9, la première chaîne musicale… sans musique.)
Ca y est, j’ai dépassé les 100 000 signes ! Mon roman commence enfin à ressembler à quelque chose ! Bon, ce n’est qu’un début, et j’ai encore très peur de me casser la figure. Car maintenant, il va falloir passer aux choses sérieuses : c’est bien beau de mettre en place l’univers, les personnages, de distiller les indices et de creuser les mystères. Mais il va falloir désormais que le rythme s’intensifie, qu’il y ait de l’action, que l’intrigue se développe. C’est pas encore gagné.

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grande nouvelle !

Non, non, rassurez-vous, je n’attends pas un bébé…. 🙂 Juste pour dire que je compte sérieusement me remettre à ma fic Largo. Ca cogite pas mal là-dedans, et j’ai vraiment envie de continuer. Il faut juste que je me sorte de l’impasse où je me suis mise durant le chapitre en Lire la suite…

22h01 – 94641 signes (écoute la télé) Putain de bordel de merde. Ça y est, j’ai envie de pleurer. Soirée de merde. Télé de merde. Pays de merde. … Désolée, c’est mon sentiment en ce moment même. Laissez-moi le temps de digérer la nouvelle. C’pas grave, je vous aime quand Lire la suite…

fin de chapitre

21h29 – 94641 signes

(écoute Yann Tiersen – Les jours tristes)
Eh oui, on s’approche doucement des 100 000 signes, les enfants! Bon, en même temps, en nombre de pages, ça peut paraître dérisoire : même pas 50 encore. Quand je pense que mon mémoire de maîtrise de linguistique compte plus de 300 000 signes, et que je l’ai écrit en quatre mois à peine… pffff.

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quelques notes au hasard…

sur la sublime B.O de Kill Bill, c’est mieux! 🙂
J’avance bien dans mon roman, pas tellement sur le papier, mais du moins dans ma tête. J’ai parfois un peu peur que mon univers soit trop complexe pour arriver à en faire quelque chose de clair, mais bon, c’est ça de construire un univers sur plus de 15 ans! Au moins, j’ai le sentiment aujourd’hui d’être réellement « dedans ». Je vis mes personnages, je vis leurs actions, et en même temps, ils sont beaucoup plus détachés de moi-même, de ma propre vie, que lorsque j’étais ado. Je pense que j’ai enfin atteint la maturité nécessaire pour commencer à coucher tout ça sur papier.

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