Retour difficile

A y est. Fini les vacances. Elles ont commencé de façon un peu étrange : une semaine chez les parents d’Isy, à Nantes, où on découvrait avec déconvenue que le net ne fonctionnait plus suite à un dégroupage qui ne s’est apparemment pas bien passé (malgré les protestations de free), et où j’apprenais également la mort de ma grand-mère paternelle, la dernière qu’il me restait. Nous avons donc fait l’aller-retour Nantes/Huelgoat (dans le Finistère) en une journée pour assister à l’enterrement. Toute la famille était là. Ça y est, je n’ai plus de grands-parents. Il fallait bien que ça arrive un jour. 97 ans, c’est un bel âge pour mourir.

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Fin.

Ca y est, je l’ai écrit, ce mot. « Fin ». C’est bizarre. Ca m’est venu comme ça. Je l’avais tellement dans la tête, cette fin, qu’il m’a fallu l’écrire. Alors, voilà, le dernier chapitre des Chimères d’Atalaya est clos. Bien sûr, j’en ai encore une dizaine, au bas mot, à écrire, Lire la suite…

Râlage, encore.

Vous allez me dire, je suis souvent désespérée. Mais là, franchement, ça me désespère. Ca fait combien ? Trois mois que j’ai repris sérieusement l’écriture des Chimères, et qu’ai-je écrit de plus ? Cinq pages, cinq malheureuses pages dont deux mises de côté sur les conseils avisés de Lali. A Lire la suite…

Avant le salon

Je continue à écrire, tout doucement. Je sais que je dois travailler, travailler, travailler. Je connais mes faiblesses : manque de vocabulaire, difficultés à faire naître des images pertinentes, pas suffisamment organisée dans l’écriture du scénario, problèmes de gestion du rythme et du temps, difficultés à inclure de la réflexion. Lire la suite…