Dans la tête de Keina
Voilà ce que ça peut donner quand j’écris :
(Installée confortablement sur le lit, le portable sur soi, de la musique dans les oreilles. Je commence toujours par relire ce que j’ai écrit le plus récemment.)
Voilà ce que ça peut donner quand j’écris :
(Installée confortablement sur le lit, le portable sur soi, de la musique dans les oreilles. Je commence toujours par relire ce que j’ai écrit le plus récemment.)
Je ne savais pas trop quoi raconter ces derniers temps, mais puisque j’étais repartie dans l’écriture, je continue sur le sujet. Tout à l’heure, dans la voiture, je me suis surprise à échafauder l’intrigue du cinquième et dernier tome du Lire la suite
L’autre jour, dans la voiture, je réfléchissais à ce qui allait être révélé au lecteur à la fin d’Une Silfine, et à ce qui resterait caché. Je suis vraiment, vraiment à fond dans l’univers en ce moment. Ok, je n’écris pas beaucoup, mais je pense sans cesse à l’histoire, à la mythologie, à ce qui va se passer par la suite, et qu’est-ce que c’est chouette ! Bon, arriver à écrire ce chapitre 10 le serait encore plus. Mais ça viendra.
Objectif de cette semaine : réussir à écrire 5 à 10 lignes par jour minimum. J’ai déjà commencé ce soir, et je peux le faire. *motivation : on* (NB: ceci ne veut pas dire que je suis un écrivain. C’est juste parce Lire la suite
Je viens de tomber sur ça. C’est horrible de se voir déposséder de son pseudo comme ça ! oO Non, je ne suis pas cette Keina-là ! Bon, en même temps, si elle teste la même chose que moi sur google Lire la suite
Samedi, j’avais décidé de me remettre à écrire. Pour de bon. Au moins un peu, quelques lignes, de quoi me mettre en jambe. J’ai mis de la musique dans mes oreilles, j’ai ouvert le fichier d’(Une Silfine), j’ai attendu, après Lire la suite
Au début, je voulais faire un post résumant le profond découragement et les déconvenues qui font maintenant suite à l’enthousiame des premiers jours. La colère, l’effarement, la lassitude. Les doutes, les peurs, les frustrations. Mais finalement, cet après-midi, je suis venue à bout d’un nouvel obstacle, et j’en ai retiré un tel sentiment de bonheur, de fierté, de contentement personnel, que je me retiendrai, pour cette fois.
La vie active, en fait, ça craint. >< (J’ai passé le week-end à larver, et j’ai qu’une envie, là maintenant, c’est d’aller dormir.)
Petite fête sur Paris hier. En réalité, c’était la cession de rattrapage de la soirée de lancement de cet ouvrage, dans lequel j’ai écrit deux nouvelles. Soirée beaucoup plus intime : nous n’étions qu’une dizaine, contre plus de quarante personnes à la véritable soirée de lancement (à laquelle je n’ai pas pu venir malheureusement). Mais ça m’a fait vraiment plaisir de revoir tout le monde, François bien sûr, mon animateur d’ateliers préféré, et puis Eric, Béatrice, les quelques autres participants d’atelier qui étaient présents… Enfin, surtout, Christian et Philippe, mes deux plus grands « mentors » en matière d’écriture (Xavier en est un aussi, mais c’est différent, il est moins… accessible).