sur la sublime B.O de Kill Bill, c’est mieux! 🙂
J’avance bien dans mon roman, pas tellement sur le papier, mais du moins dans ma tête. J’ai parfois un peu peur que mon univers soit trop complexe pour arriver à en faire quelque chose de clair, mais bon, c’est ça de construire un univers sur plus de 15 ans! Au moins, j’ai le sentiment aujourd’hui d’être réellement « dedans ». Je vis mes personnages, je vis leurs actions, et en même temps, ils sont beaucoup plus détachés de moi-même, de ma propre vie, que lorsque j’étais ado. Je pense que j’ai enfin atteint la maturité nécessaire pour commencer à coucher tout ça sur papier.
Et puis il y a les fanfictions… c’est bête, j’aimerais en dire tant à mes lecteurs, tout en sachant que je ne peux pas, que je ne dois pas! Ca semble tellement facile de parler de mon univers dans mes fanfictions, et pourtant le roman est tellement dur à écrire! Pourquoi donc? Où se trouve la différence?
Avant-hier, j’ai compilé tous les conseils que j’ai reçus lors des ateliers d’écriture, et je l’ai proposé ici, ainsi que sur le forum du FUWS. Je suis contente, ça remporte du succès, du moins sur le FUWS. J’aime beaucoup ce forum, on sent chez chacun des participants la passion de l’écriture et de la lecture. C’est très enrichissant.
Je compte également préparer un petit article sur les fanfictions pour le fanzine du club, avant d’enchaîner sur les webseries. Je pense que le fait de commencer par les fanfictions rendra l’article sur les webseries plus facile d’accès pour les néophytes.
Mais comme toujours, comme pour tout, j’ai beaucoup de mal à commencer…
Sans parler des cartes de vœux que je n’ai toujours pas faites! Argh, chaque année, je prends la bonne résolution de les commencer en avance, et chaque année elles sont faites à la dernière minute. C’en est rageant…
Rien de neuf, donc. Il va falloir que je me prenne un peu plus en main, histoire de ne pas faire regretter à isy de ne pas me pousser plus que ça à chercher un boulot.
Je sens que ce roman va se faire un peu comme mon mémoire de maîtrise: 12 mois sans rien faire, puis 9 passés à rassembler de vagues notes, et enfin 3 mois de rédaction intensive. Le tout est de me faire fixer, par une personne extérieure de préférence, une limite de date, histoire que je puisse m’y prendre à la dernière minute par rapport à cette date… vous me suivez là?
Et puis, si c’est pour, au final, récolter la mention « très bien », pourquoi changer ma méthode de fonctionnement? Hein?
0 commentaire