J’aime les mots de Jade. Parce qu’elle porte un regard juste sur le monde, un regard éclairé, qui donne à réfléchir comme à rêver. Parce qu’elle remue le cœur et l’esprit. Parce que si l’une d’entre nous doit un jour devenir un grand écrivain, ce sera elle, j’en suis intimement convaincue. Le monde est riche de ses mots.
J’aime les mots de Déborah. Les mots de son blog, d’abord, même si les autres aussi, bien sûr. Parce que c’est plein d’émotions mélangées, de tendresse, de tristesse, de joie, de peur. Parce qu’elle a une façon unique de mélanger le français et l’anglais, une façon unique de raconter ce qu’elle est. Parce que c’est fort et doux à la fois.
J’aime les mots d’Aresya. Les mots qu’elle laisse pour donner son avis, comme ceux qui ont donné vie à Colora et à Virtual Game. Parce que, bizarrement, je me vois en elle, au même âge. Alors que, au final, nous sommes si différentes dans notre façon d’écrire ! J’aime sa boulimie d’écriture, tous ces mots qui se lient pour former une histoire intense, pleine d’énergie.
J’aime les mots de Lojie, cette Grande Dame qui m’a si longtemps réellement intimidée. J’aime quand elle me raconte une histoire, parce que ça bouge, ça vit, ça palpite. Parce qu’on ne sait jamais ce qu’il peut arriver, et qu’on sera toujours surpris par le dénouement.
J’aime les mots de Lali. Ceux de GNA, avant tout, parce que c’est MON coup de cœur, parce que les premiers mots du premier épisode resteront à jamais gravés dans mon esprit. J’aime Gaétan, aussi, mais c’est différent. Amalia a une place toute particulière dans mon cœur.
J’aime les mots de Tia. Ces mots si forts qu’ils sont douloureux et salvateurs à la fois. Ceux qui viennent du fond d’elle-même, qui rendent tout frissonnants et palpitants. Ceux qui font qu’on ne détache plus les yeux de l’écran jusqu’au mot « fin ».
J’aime les mots d’Anna et de Fanny, aussi, mêlés à ceux de Jade et de Tia. Parce qu’à elle quatre, elles arrivent à créer une alchimie toute particulière. J’aime les personnages auxquels elles ont donné vie, les liens qu’elles arrivent à créer et à maintenir.
J’aime les mots de Camélie. Des mots doux, réconfortants, pour une fois. Des mots qu’on aime à laisser musarder dans son esprit quelques instants après les avoir lu. J’aime sa manière de s’attacher à ses personnages, qui nous rend accro à leurs joies et à leurs peines.
J’aime les mots de Popo. Des mots d’homme, pour une fois. Ce qui change si peu de chose ! Parce qu’on arrive à s’inquiéter de l’avenir de Sverka comme s’il s’agissait de notre propre planète. Parce que Mia ressemble tant à ma Keina que c’en est parfois troublant.
J’aime les mots de Nel. Même les premiers mots un peu maladroits de La Cité des Anges, oui, je les chéris aussi. Parce qu’elle a su créer un univers à nul autre pareil, et qu’elle l’a mené jusqu’au bout. Parce que chacun de ses personnages a un petit quelque chose qui fait que je me souviendrai d’eux, pour toujours.
Ils sont si nombreux, ceux dont j’aime les mots, que j’aurai peine à tous les citer. J’aime aussi les mots de Yerno, qui savent toujours innover, les mots de Maxou, qui donnent à réfléchir, les mots d’Aline, qui, comme ceux de Camélie, trouvent le ton juste pour raconter des choses simples, les mots de Brokengirl, si durs et si justes pourtant, les mots tragiques de Clara, les mots gentils de Léty, les mots délicats de GG et Anna_l, les mots qui heurtent de Toci. les mots d’Aca, de David, de Lolo, d’Aurelian, ceux de Lulu, de Miggy, de Thandie, de Séjal…
Et tous ces mots qu’il me reste à découvrir.
Voilà pourquoi je ne m’arrêterai jamais de vous lire. Voilà pourquoi j’aime à vous citer en tête de mes chapitres.
Voilà pourquoi j’aime les webséries.
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