Eh bien voilà, j’ai enfin terminé le chapitre 16 d‘(Une Silfine) ! Comme d’habitude, vous pouvez le lire là-bas, ou là, ou encore là.
Du coup, j’ai pris un peu de retard sur le reste, mais voilà, il fallait que ça sorte. Je me sens tellement proche de la fin que ça me rend euphorique et anxieuse à la fois. Du coup, j’ai envie d’enchaîner le dernier chapitre, et l’écrire très vite, très vite, très vite, pour enfin savoir ce que ça fait de finir un roman ! En plus de ça, j’ai vraiment l’impression d’écrire une fin digne de ce nom, avec des rebondissements à la pelle, des scènes grandioses et une débauche de grands sentiments digne d’Hollywood. Bon, d’accord, tout ça, c’est dans ma tête, et ce qui ressort sur le papier doit plutôt ressembler à un premier jet maladroit et bancal. Mais c’est pas grave, pour le moment j’ai envie de faire comme si j’étais en train de terminer un chef d’oeuvre, et comme si je pouvais écrire parfaitement du premier coup. J’aurais bien le temps plus tard de remettre les pieds sur terre et de me morfondre à nouveau sur la pauvreté de mon style et la platitude de mon histoire !
Avec un peu de chance, le dernier chapitre paraîtra avant Noël… 🙂
0 commentaire