Bien, premiers jours et déjà du retard… tsss, c’est tout moi, ça ! ^^’
03. Thé, café, jus d’orange, de carotte, chocolat chaud… que buvez-vous quand vous écrivez ?
Je bois du thé quasi à longueur de journée, donc a fortiori quand j’écris. Le soir ou après 5h, c’est plutôt tisane histoire d’aller mollo sur la théine, et parfois capuccino ou chocolat chaud pour changer. Mais quand vraiment je suis en pleine inspiration et que j’écris beaucoup, je n’ai foncièrement pas besoin de boire ou de manger quoi que ce soit. Ça, c’est plutôt quand je bulle en essayant de me forcer à bosser sérieusement.
04. Vers quel genre de récit (imaginaire, polar, épistolaire) vous tournez-vous le plus naturellement, lorsqu’une idée vous vient ?
Ah, les genres… il faut bien l’avouer, les genres vers lesquels je me tourne le plus facilement sont le fantastique, la SF (pas trop hard ceci dit) et le merveilleux. Surtout le merveilleux d’ailleurs. Mais bon, en même temps je ne foisonne pas d’idées, et rares sont celles qui me viennent naturellement (souvent, c’est dans le cadre d’un atelier d’écriture où le genre est fixé d’avance, ou du moins, doit appartenir à l’imaginaire). Mais j’ai l’envie depuis toujours d’arriver à écrire des histoires plus réalistes. Quand j’étais plus jeune, je faisais dans l’animalier, j’aimerais bien y retourner. J’ai envie aussi d’écrire de la romance historique (pourquoi pas sous forme épistolaire, tiens ?) ou contemporaine, une histoire toute simple qui fasse du bien au moral. Mais je n’ai pas encore trouver l’idée phare ! Comme quoi la question est biaisée : je choisis le genre avant de trouver l’idée, à chaque fois.
Les seuls genres dans lesquels je peux affirmer qu’on ne me verra jamais (ou alors c’est vraiment très improbable et ça impliquerait de grands changements dans mon caractère) sont le polar (au grand désespoir de mon père), le thriller et l’espionnage. Je ne les « sens » pas suffisamment pour m’y lancer.
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