Hier, deux faits marquants : d’un, les Fatals Picards partent représenter la France à l’Eurovision, et ça c’est quand même ENORME! Première fois de ma vie que je regardais une émission sur l’Eurovision, mais c’était globalement pas mal. A part une chanteuse à deux balles sorties d’une comédie musicale et une espèce de sous-Lorie qui détient tous les records en matière d’abominable (découverte par Bruel et en première partie de Fiori – une parodie à elle toute seule, à voir pour le croire !), les autres groupes, si je n’aimais pas forcément le style, apportaient chacun un petit truc en plus par rapport aux soupes habituelles que la France présente à l’Eurovision et représentaient tous à peu près bien ce qui se fait en matière de musique dans le pays. N’empêche que je suis bien contente que les Fatals Picards aient gagnés, leur chanson est vraiment sympa. Et puis, ben, entre picards, il faut se soutenir ! Pour une fois, je vais regarder l’Eurovision…
Autre fait marquant : la mort d’un grand, d’un très grand monsieur de la bande dessinée. La nouvelle, j’imagine, n’intéresse pas les médias. Qui connaît cet Yvan Delporte, dont le nom apparaît parfois sur les albums de Gaston Lagaffe et de Spirou ? Pourtant, Yvan Delporte, c’était l’âme de Dupuis. LE rédac’chef de l’âge d’or du journal de Spirou, celui qui a accepté Gaston dans les pages du magazine, celui qui a connu et parfois même embauché les plus grand.
Plusieurs hommages ont fleuri aujourd’hui sur le net. L’un de ceux qui résument le mieux l’esprit du grand enfant qu’était Yvan Delporte, c’est celui de Lledelwin, ici .
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